Scribonius affirme contre Asclépiade la nécessité des médicaments (dans l’Antiquité majoritairement végétaux). Les médecins romains revendiquent leur identité italique en incluant des remèdes populaires et magiques. Pline condamne la mode contemporaine des remèdes exotiques: nostalgique de la Romanité, il exalte le recours aux médicaments traditionnels tirés de plantes indigènes