L’étude des composés nominaux latins demeure une question très débattue par les linguistes et les philologues classiques. La matière suscite toujours le plus vif intérêt, comme le démontre la vaste bibliographie existante sur le sujet. Dans les études réalisées au cours des deux derniers siècles, l’analyse synchronique a été absolument minoritaire. D’autre part, si nous situons le début des études sur la grammaire à l’Antiquité classique, l’approche synchronique nous semble la seule observable.